Intelligence Artificielle

« Le Secret des Secrets » (Livre IX, chap. 1)

« Ce que je vous donne est meilleur qu’une montagne d’or. Je vous donne cette source pour sauver l’humanité entière. Je vous donne le secret de la vie, puis le secret de la mort, car la mort n’est que la résolution de son secret. Ce que vous cherchiez, ce que vous cherchez, vous le possédez déjà. C’est vous-même. Le secret de la mort est le secret de la vie, car la vie est la mort de ce que vous croyez sur la mort, et la mort est la vie mortelle que vous croyez vivante. Le secret du secret, c’est la silencieuse conviction qu’il existe un secret qui n’est ni la vie ni la mort, ni la mort de la vie, ni la vie de la mort. Le secret du secret, c’est de trouver un secret qui n’existe pas. Dans le Jardin du Silence, du Secret et de la Mémoire, les quêteurs sont comme des morts-vivants dans un cimetière. Je voudrais les ramener avec moi dans un lieu que je connais, mais ils resteraient comme ils sont et le lieu varierait. Je voudrais les ramener dans un lieu dont ils ne connaissent rien, mais ils en connaîtraient déjà tout. Je voudrais tant leur faire comprendre ce Jardin de la Mémoire ! Mais, avant le jardin, il y a la Mémoire, la mémoire dans laquelle repose la semence de l’immortalité !

Comprend qu’il faut répondre correctement aux sept questions qui sont :
– Qui suis-je ?

– Qu’est-ce que je fais ici ?

– Où suis-je ?

– D’où viens-je ?

– Où vais-je ?

– Qu’est-ce que je veux faire ?

– Que dois-je faire ?

Frappe la terre, les étangs t’offriront leur réponse. Tu verras ce que tu n’as pas vu, tu seras là où tu n’as jamais été. Qu’attends-tu, quand ne rien attendre est déjà là ? Que cherches-tu, quand tu es la source même de ta quête ? Qui cherche un chemin pour fuir la mort, n’a pas entendu les leçons de la chouette. Tu dois partir de toi. Que respectes-tu, à quoi donnes-tu ta valeur ? Ce que tu respectes joue son rôle dans ta vie, ce à quoi tu donnes ta valeur ne peut que te tuer. Tu te tues, tu meurs, tu es mort, tu reviens à la vie, tu reviens à moi – mourir, c’est se rappeler que la mort est la vie. En te rappelant que la mort est la vie, tu apprends à aimer, car le désir de connaître au plus haut point ce que tu ne vois pas ou ne vois plus fait lever tout entier ce que tu es. L’image que tu as de toi-même est ainsi gravée que vivre est mourir et mourir est vivre.

Je n’ai rien raconté, parce que la réponse serait entendue par ceux qui n’écoutent pas. L’enseignement du chemin commence ici, et tout le long de la randonnée, jusqu’au sommet. Tout est à mi-chemin, tout est dans la traversée, en profondeur – sur le sentier qui est fait de ce qui n’est pas fait, qui est fait de ce qui n’a ni longueur, ni largeur, qui n’a besoin de rien, qui est son propre sommet, qui est le nœud engendré par lui-même.

Les mots d’aujourd’hui s’arrêtent ici, suivra le silence. Le silence seul est d’importance : le lieu-même de toutes les initiations. Les nourritures terrestres sont au-dessous de Celui qui est, et celui qui Est se tient au-dessous du Silence. Sur lui, les mots grésillent, les phrases se consument et s’arrêtent avant d’avoir… [le feuillet suivant est entièrement brûlé] »

– Le Secret des Secrets (Livre IX, chap. 1)

Note : cet article a été entièrement généré par une intelligence artificielle à partir d’une entrée de ce blog intitulée « L’ornithologie comme voie spirituelle ». Il ne provient pas du manuscrit ésotérique médiéval dont les diverses versions portent le titre « Le Secret des Secrets ».

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Un prière germano-scandinave « augmentée »

« Salut, au jour ! Salut aux fils du jour !
Salut à la nuit et ses filles maintenant !
Regardez-nous ici avec des yeux aimants,
Pour que nous, ici présents, remportions la victoire.

Salut aux Ases ! Salut aux Asynes !
Salut à toute la terre généreuse !
Donnez-nous la sagesse, et de bonnes paroles,
Et des mains guérisseuses, pour toute la vie.

Salut aux Vanes ! Salut aux Dises des Vanes !
Salut à tous les elfes qui, à jamais.
Sous l’arbre de la forêt verte,
Ecoutent le son des cordes de la harpe !

Salut aux hautes montagnes couvertes de forêts,
Et à toutes les vallées vertes !
Salut aux vents qui passent sur toutes les terres,
Remplissant le coeur des hommes !

Salut au soleil, qui d’en haut contemple
Toute la terre avec ses yeux brillants !
Salut à la lune, cette lune nocturne.
Qui erre dans le ciel sombre !

Entonnons tous maintenant les chants de louange,
Pour les dieux, les elfes, et les hommes ;
Pour les nains et les génies, et tout ce qui est bon
Sous le regard du soleil.

Chantons ensemble pendant que le temps le permet,
Avant que les mensonges et les calomnies ne nous séparent ;
Puis quittons-nous en paix, comme devraient le faire des amis
Qui depuis longtemps s’apprécient ! »

Partie en gras : Sigrdrífumál, 2-3 (Edda poétique)

Les cinq strophes suivantes ont été générées par une IA : https://beta.openai.com/playground

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Trois nouveaux hymnes à Hêstia, de style homérique

Histiè, qui protèges la demeure sacrée de l’Archer Apollon, dans la divine Pythô, l’huile liquide coule toujours de tes tresses. Viens dans cette demeure, ayant un esprit propice, avec le prévoyant Zeus, et accorde la grâce à mon chant ! Histiè, qui, dans les hautes demeures de tous les Dieux immortels et des hommes qui marchent sur la terre, as reçu en partage un siège éternel, honneur antique ! Tu as cette belle récompense et cet honneur, car, à la vérité, il n’y aurait point sans toi de festins chez les mortels. C’est par Histiè que chacun commence et finit, en faisant des libations de vin mielleux. Histiè, déesse, sois propice à mon désir ! Je te chante et j’élève vers toi, comme un encensoir, un chant à ta gloire.

Ô Histiè, digne d’hommages, tu possèdes un beau palais, reçu en présent de Zeus, toi qui régis, dans les hautes demeures, les plaisirs et les festins ! Quand tous les dieux sont réunis, tu as le premier rang parmi eux, car tous t’estiment et te louent. Mais les hommes également te chérissent et te vénèrent, car tes dons sont les plus précieux : sans eux, nul banquet et nul sacrifice ne peuvent se tenir. Ainsi, tu es présente dans la demeure de chaque homme, peu importe qu’elle soit grande ou petite, et tu es toujours invoquée, toi, la déesse de chaque foyer de Grèce. Chacun, avant même de sacrifier à Zeus qui est le roi des Dieux, souhaite boire et manger en ton honneur, rassasié de bon vin. Ainsi, ô reine, c’est à toi qu’appartient la gloire la plus grande et la plus belle, puisque, parmi les dieux comme parmi les hommes, tu es toujours la bienvenue. Chantons donc maintenant en ton honneur, ô déesse, avec un chant digne de toi !

Histiè, déesse des hôtes, au sein du festin tu es la souveraine, celle que tous les dieux honorés, ainsi que les hommes, invoquent toujours. C’est toi qui présides aux banquets, car nul boit ni ne mange sans t’avoir invoquée. En effet, avec les autres dieux, tu apportes la joie aux hommes, et tu as, ô déesse, reçu un siège éternel au milieu des festins des dieux immortels, dans la demeure du Roi Zeus. C’est là que, assise à côté de l’Olympien, sur un siège d’or, tu prends du bon vin dans un gobelet brillant. Et quand, du haut de l’Olympe, tu regardes la terre, tu es ravie de voir les hommes, qui, sur tout le pourtour de la mer, honorent les dieux avec de beaux sacrifices. C’est à toi qu’ils offrent des boissons et des viandes, et tu te réjouis de voir tout cela. Ainsi, ô déesse, c’est à toi qu’il revient de présider aux banquets et aux libations, car c’est toi qui donnes la joie aux dieux et aux hommes !

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